Rachat de crédit : réduisez vos mensualités

Associations : le reste à vivre influence le niveau d'engagement

Dons aux associations et reste à vivre

Collecte de la Banque Alimentaire, ouverture des Restos du Cœur, Téléthon 2019… La fin d’année est propice aux grandes opérations associatives avec en toile de fond la course aux dons. L’occasion pour l’institut de BVA de se pencher sur le lien particulier entre les Français et les associations, dans un contexte de tension sur le pouvoir d’achat.

 Près de la moitié des Français dans les associations

La France recense environ 1,3 million d’associations qui comptabilisent 23 millions d’adhérents de plus de 14 ans et 12,7 millions de bénévoles. Sans surprise, les associations bénéficient d’une bonne image auprès de neuf Français sur dix selon les résultats l’étude BVA. Plus de sept sur dix leur reconnaissent un rôle important dans la cohésion et le dynamisme du territoire. Ils sont quatre sur dix à déclarer appartenir à une association, et même 15% à plusieurs ! Les associations sportives sont fortement majoritaires (41%), devant les loisirs (20%), la culture (17%) et le caritatif (13%).

 Les cadres sont les plus investis

S’engager bénévolement dans la vie d’une association, c’est un signe de grand altruisme que 15% des répondants réalisent de manière mensuelle. Les trois quarts déclarent faire des dons aux œuvres caritatives avec un montant moyen de 193€. Dans les deux cas, la fracture du pouvoir d’achat est prégnante dans l’investissement humain ou financier au sein des associations. Les cadres sont ainsi les plus actifs et les plus généreux. Pour les personnes les plus modestes, en effet les problèmes d’argent ne permettent pas de dégager du temps ou de se montrer solidaire. La priorité est bien souvent de faire face à ses propres dépenses.

 Les foyers modestes ont d’autres problématiques

Un pouvoir d’achat réduit, un reste à vivre menacé à chaque fin mois, c’est notamment le quotidien des ménages endettés. L’acquisition d’une voiture pour pouvoir se déplacer dans une zone rurale, l’achat d’équipements électroménager ou le financement de travaux… Ces foyers peuvent se retrouver à rembourser plusieurs emprunts qui vont d’autant réduire leur marge de manœuvre dans leur budget de tous les jours. Le rachat de crédit est notamment conçu pour ces publics fragilisés, qui pourraient basculer dans le surendettement en cas de coup de dur à l’image d’une grosse facture ou d’un découvert bancaire.

 Regrouper ses crédits pour restaurer un reste à vivre satisfaisant

Le rachat de crédit hypothécaire ou le rachat de crédit consommation (selon la formule qui convient en fonction de la situation de l'emprunteur), va en effet permettre de ne s’acquitter que d’une seule mensualité, modulable en fonction de sa capacité d’endettement. Le regroupement des prêts, contre l'allongement de la durée de remboursement, va alors redonner un reste à vivre plus en rapport avec les ressources du ménage. Le rachat de crédit peut aussi dégager une somme supplémentaire sous forme de trésorerie, pour absorber par exemple une facture inattendue, dans le cas d’une réparation automobile ou d’une consommation énergétique qui dérape.

Posté le 13 Décembre 2019 © Guide du crédit

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